Après un vol où les ennuis de "Check-in" ont continué (voir 40 ans de mariage) : les numéros électroniques n'ont pas voulu s'imprimer sur nos cartes d'embarquement et après une heure de bataille féroce avec le système informatique, deux cartes sur quatre ont bien voulu s'imprimer avec ces fameux No.
On embarque quand même et une fois à Istanbul, c'est reparti pour la même histoire. L'employé en zone de transit déclare forfait après un peu moins d'une heure. "Faut sortir de la zone de transit et aller au bureau principal" nous dit-il (ça ne vous dit rien ???). Encore une heure pour que finalement on nous remette une demi-feuille A4 avec plein de codes et chiffres avec nos cartes d'embarquement qui n'ont toujours pas de numéro.
A la porte d'embarquement nous sommes mis de côté et un autre employé pianote activement sur son ordinateur. Encore 20 minutes d'attente et nous pouvons enfin embarquer.
Puis tout roule. Nous retrouvons notre montagne de bagages, le taxi et une échelle pour grimper sur notre fidèle Sakatia (merci Patrice pour l'échelle).
Après une bonne nuit de sommeil, c'est rangement à l'intérieur et antifouling (peinture sensée empêcher les algues et petits crustacés de venir s'accrocher sur la coque) à l'extérieur.
vendredi, 24 avril 2009
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